Nos résultats et publications scientifiques sont ici mises à disposition des chercheuses, des chercheurs et de toute personne souhaitant en savoir davantage sur les avancées de nos recherches.
En raison de la pandémie de COVID-19 et pour répondre aux enjeux actuels de santé publique, les premiers axes de recherche de Specchio ont été développés en priorité dans le but de mieux comprendre cette nouvelle maladie, ses facteurs de risque et ses conséquences sanitaires, sociales et économiques. D’autres thèmes de recherche seront ajoutés au cours du temps. Grâce aux chercheuses et aux chercheurs travaillant sur les données recueillies, les découvertes et connaissances scientifiques ne cessent de s’étoffer.
Cette étude montre que 13% des enfants, adolescentes et adolescents ont été sévèrement impactés par la pandémie de COVID-19 à Genève. Celles et ceux souffrant d'un problème de santé chronique, vivant dans environnement familial défavorable ou qui ont vu leurs comportements de santé se dégrader à cause de la pandémie étaient particulièrement à risque. Un impact sévère de la pandémie était à son tour associé à une qualité de vie et une santé mentale réduite, même après la levée des restrictions sanitaires.
Cette étude montre que la prévalence de l’anxiété et celle de la dépression étaient les plus élevées au début de la vague pandémique, en février 2021, et ont diminué de février à juin 2021 avec l'assouplissement des mesures de lutte contre la pandémie pour retrouver des valeurs proches des niveaux pré-pandémiques.
Cette quatrième étude de séroprévalence menée entre avril et juin 2022 a montré que 93, 8% de la population générale genevoise présentait des anticorps anti-SARS-CoV-2. Près de trois quarts (72.4%) de ces personnes les ont acquis suite à une infection. Cependant, moins de la moitié de la population possédait des anticorps avec activité neutralisante contre le sous-variant Omicron BA.5.
Cette étude a montré qu'une proportion importante d'enfants, d'adolescentes et d'adolescents souffraient de symptômes persistants après une infection au COVID-19, compatibles avec le syndrome post-COVID. Les 12-17 ans apparaissent comme les plus à risque de développer ces symptômes. Ces conclusions mettent en évidence l'importance d'un dépistage précoce et à une prise en charge par les soins de premiers recours.
Les résultats de cette étude mettent en évidence des associations entre le fait d’avoir eu des difficultés financières, le statut d'emploi (retraité-e versus employé-e), la zone de résidence (urbain versus suburbain), et le fait d'avoir été infecté-e par le SARS-CoV-2. Cependant, aucune association n’a été observée avec d'autres indicateurs socio-économiques comme le revenu ou le niveau d’éducation.
Si vous êtes chercheuse, chercheur dans le domaine hospitalier, universitaire ou appartenant à une institution publique en Suisse ou à l’étranger, n’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur nos études.
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