Nos résultats et publications scientifiques sont ici mises à disposition des chercheuses, des chercheurs et de toute personne souhaitant en savoir davantage sur les avancées de nos recherches.
En raison de la pandémie de COVID-19 et pour répondre aux enjeux actuels de santé publique, les premiers axes de recherche de Specchio ont été développés en priorité dans le but de mieux comprendre cette nouvelle maladie, ses facteurs de risque et ses conséquences sanitaires, sociales et économiques. D’autres thèmes de recherche seront ajoutés au cours du temps. Grâce aux chercheuses et aux chercheurs travaillant sur les données recueillies, les découvertes et connaissances scientifiques ne cessent de s’étoffer.
Ces résultats indiquent quels groupes d’enfants, d'adolescents et d'adolescentes devraient être ciblés par les politiques de santé publique et les interventions visant à remédier aux inégalités sociales.
Les anticorps contre le SARS-CoV-2 persistent pour plus d’une année et demi, et leur niveau quantifié par des méthodes disponibles à large échelle peut être utilisé comme indicateur d’un risque réduit contre l’infection contre les variants Omicron dans certaines conditions. Ces résultats nous permettent d’améliorer notre compréhension du niveau de protection contre le SARS-CoV-2 dans la population générale.
Cette étude a montré que la volonté de faire vacciner les enfants contre le COVID-19 était élevée chez les parents d'adolescentes et adolescents âgés de 16 à 17 ans, mais diminuait significativement chez les parents d’enfants plus jeunes.
Cette étude montre que 13% des enfants, adolescentes et adolescents ont été sévèrement impactés par la pandémie de COVID-19 à Genève. Celles et ceux souffrant d'un problème de santé chronique, vivant dans environnement familial défavorable ou qui ont vu leurs comportements de santé se dégrader à cause de la pandémie étaient particulièrement à risque. Un impact sévère de la pandémie était à son tour associé à une qualité de vie et une santé mentale réduite, même après la levée des restrictions sanitaires.
Cette étude montre que la prévalence de l’anxiété et celle de la dépression étaient les plus élevées au début de la vague pandémique, en février 2021, et ont diminué de février à juin 2021 avec l'assouplissement des mesures de lutte contre la pandémie pour retrouver des valeurs proches des niveaux pré-pandémiques.
Si vous êtes chercheuse, chercheur dans le domaine hospitalier, universitaire ou appartenant à une institution publique en Suisse ou à l’étranger, n’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur nos études.
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