Ces résultats indiquent quels groupes d’enfants, d'adolescents et d'adolescentes devraient être ciblés par les politiques de santé publique et les interventions visant à remédier aux inégalités sociales.
Les anticorps contre le SARS-CoV-2 persistent pour plus d’une année et demi, et leur niveau quantifié par des méthodes disponibles à large échelle peut être utilisé comme indicateur d’un risque réduit contre l’infection contre les variants Omicron dans certaines conditions. Ces résultats nous permettent d’améliorer notre compréhension du niveau de protection contre le SARS-CoV-2 dans la population générale.
Cette étude a montré que la volonté de faire vacciner les enfants contre le COVID-19 était élevée chez les parents d'adolescentes et adolescents âgés de 16 à 17 ans, mais diminuait significativement chez les parents d’enfants plus jeunes.
Cette étude montre que 13% des enfants, adolescentes et adolescents ont été sévèrement impactés par la pandémie de COVID-19 à Genève. Celles et ceux souffrant d'un problème de santé chronique, vivant dans environnement familial défavorable ou qui ont vu leurs comportements de santé se dégrader à cause de la pandémie étaient particulièrement à risque. Un impact sévère de la pandémie était à son tour associé à une qualité de vie et une santé mentale réduite, même après la levée des restrictions sanitaires.
Cette étude montre que la prévalence de l’anxiété et celle de la dépression étaient les plus élevées au début de la vague pandémique, en février 2021, et ont diminué de février à juin 2021 avec l'assouplissement des mesures de lutte contre la pandémie pour retrouver des valeurs proches des niveaux pré-pandémiques.
Cette quatrième étude de séroprévalence menée entre avril et juin 2022 a montré que 93, 8% de la population générale genevoise présentait des anticorps anti-SARS-CoV-2. Près de trois quarts (72.4%) de ces personnes les ont acquis suite à une infection. Cependant, moins de la moitié de la population possédait des anticorps avec activité neutralisante contre le sous-variant Omicron BA.5.
Cette étude a montré qu'une proportion importante d'enfants, d'adolescentes et d'adolescents souffraient de symptômes persistants après une infection au COVID-19, compatibles avec le syndrome post-COVID. Les 12-17 ans apparaissent comme les plus à risque de développer ces symptômes. Ces conclusions mettent en évidence l'importance d'un dépistage précoce et à une prise en charge par les soins de premiers recours.
Les résultats de cette étude mettent en évidence des associations entre le fait d’avoir eu des difficultés financières, le statut d'emploi (retraité-e versus employé-e), la zone de résidence (urbain versus suburbain), et le fait d'avoir été infecté-e par le SARS-CoV-2. Cependant, aucune association n’a été observée avec d'autres indicateurs socio-économiques comme le revenu ou le niveau d’éducation.
Cette étude a confirmé la transmission du SARS-CoV-2 d'enfant à enfant et d'enfant à adulte, ainsi que l’introduction du virus dans les foyers des participant-es infecté-es.
Une proportion significative d'adolescent-es a présenté un faible niveau de bien-être au cours de la deuxième vague de COVID-19, taux inférieur aux estimations pré-pandémiques. Les adolescent-es vivant dans des familles défavorisées ou en difficulté semblaient particulièrement touché-es.
Les courtes interruptions scolaires liées au COVID-19 ne semblent pas affecter la qualité de vie des enfants, adolescents et adolescentes, tout en restant un moyen de contrôler la transmission du virus.
L’étude SEROCoV-Schools met en évidence une plus haute transmission des infections par le variant Omicron en milieu scolaire par rapport aux variants précédents. Les enfants semblent être à l’origine d’un nombre important d’infections extra-familiales et jouent un rôle clé dans la transmission communautaire.
Dans une étude menée auprès d’adultes genevois recrutés aléatoirement, 8% des participants ont déclaré avoir renoncé à des soins de santé durant la pandémie de COVID-19, entre mars 2020 et janvier 2021. Les participants en situation de vulnérabilité économique et ceux rapportant une santé moyenne ou mauvaise étaient davantage à risque de renoncer à des soins de santé.
Cette publication présente les objectifs et la méthodologie de l’étude Specchio-COVID19. L'une des forces majeures de l'étude est l'utilisation combinée de tests sérologiques et de questionnaires en ligne qui permettent de suivre l’évolution de la pandémie de COVID-19 dans le canton de Genève et d'analyser ses impacts sur plusieurs dimensions de la santé au cours du temps.
Les résultats de cette étude montrent une association entre les taux de séroprévalence du SARS-CoV-2 parmi le personnel des maisons de retraite et l'incidence cumulée des cas de COVID-19, des hospitalisations et des décès parmi les résidentes et résidents lors de la première vague pandémique, en 2020.
Cette étude montre un taux d’acceptation de la vaccination COVID-19 s’élevant à 75,7%, avec une variation importante selon les caractéristiques sociodémographiques des répondants (âge, sexe, revenu, lieu de vie urbain ou rural).
Cette étude, couvrant une période de plus de 27 semaines, montre une réduction de 93% du risque d'être testé positif au SARS-CoV-2 chez les travailleurs essentiels séropositifs par rapport à leurs homologues séronégatifs, quel que soit leur secteur d'activité et donc de l'intensité potentielle de réexposition.
Cette étude, menée avant la mise en place du certificat de vaccination en Suisse, montre que cette mesure est soutenue par la majorité de la population générale à Genève, en particulier pour être exempté de quarantaine lors de voyages à l’étranger et pour réduire la transmission du SARS-CoV-2 dans le cadre d’emplois au contact de personnes à risque de complications ou d'infection.
A l’appui de 3 tests immunologiques distincts disponibles dans le commerce, cette étude effectuée sur des individus infectés ayant développé des anticorps contre le SARS-Co-V-2, montre l’impact de la sensibilité des tests sur l’interprétation des études sérologiques.
Cette étude, menée entre le 1er juin et le 7 juillet 2021, montre un taux de séroprévalence total de 66,1 %, en considérant les anticorps développés par infection et/ou vaccination. L’étude souligne des différences importantes entre les groupes d’âge. Nous avons estimé que 29,9 % (95 % Crl :28,0-31,9) de la population avait développé des anticorps après infection; le reste de la population ayant développé des anticorps par la vaccination.
Cette étude montre que la séroprévalence d'anticorps anti-SARS-CoV-2 de la population est restée faible après la première vague à Genève. Les personnes âgées et les jeunes enfants étaient moins fréquemment séropositifs.
Cette étude constituée de 8 enquêtes sérologiques hebdomadaires auprès d’une cohorte représentative de la population genevoise, a notamment mis en évidence que l’épidémie était loin de s’éteindre simplement grâce à l’immunité collective.
SEROCoV-WORK+, étude pionnière sur le taux d’exposition au virus par secteurs d’activités et professions, montre une variabilité intra-sectorielle considérable sur le bassin genevois.
Cette étude montre notamment que le risque d’infection via un seul membre infecté au sein de la cellule familiale était plus de trois fois supérieur au risque d’infection dû à des expositions à l’extérieur du ménage au cours de la première vague pandémique.
Cette étude met en évidence des différences de séroprévalence significatives selon les tranches d’âges, sur une population de 4'000 personnes âgées de 0 à 96 ans.
Cette étude longitudinale, réalisée avant l’apparition des variants Alpha et Delta, montre qu’après une première infection par le SARS-CoV-2 les personnes séropositives sont protégées contre la réinfection sur une durée d’au moins 8 mois.
Certains de ces cookies sont essentiels, tandis que d'autres nous aident à améliorer votre expérience en nous donnant un aperçu de la façon dont le site est utilisé.
Pour des informations plus détaillées sur les cookies que nous utilisons, veuillez consulter notre politique de confidentialité.
Les cookies nécessaires permettent d'activer les fonctionnalités de base. Le site web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies, qui ne peuvent être désactivés qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.