Les résultats de cette étude montrent que les profils cardiovasculaires sont restés globalement sains après la pandémie. Ils soulignent notamment que les comportements positifs adoptés par les populations de pays développés comme la Suisse pourraient compenser les effets négatifs potentiels de la pandémie.
Cet article montre qu’environ un tiers de la population adulte générale de Genève a souffert de fatigue sévère deux ans après le début de la pandémie de COVID-19. Le niveau élevé de fatigue chez les jeunes adultes s’explique en partie par des symptômes dépressifs.
Encore peu explorées, les perspectives temporelles futures (PTF) et les préoccupations des adolescent-es décrites dans cette recherche menée à Genève, soulignent la nécessité de mettre en oeuvre des interventions renforçant la résilience des plus jeune face à l'avenir.
Ces résultats fournissent des preuves empiriques de mécanismes expliquant les disparités socio-économiques en terme de qualité de vie liée à la santé des enfants et pourraient éclairer des interventions ciblées, visant à réduire les inégalités en matière de santé.
Les résultats de l'étude montrent que les adolescentes et adolescents atteints d'acné qui pratiquent une activité physique régulière et bénéficient d'un bon soutien social présentent une meilleure qualité de vie en lien avec leur acné, ce qui se traduit par une meilleure santé mentale. En revanche, le temps d'écran et l'utilisation des réseaux sociaux réduisent considérablement cette qualité de vie. Les dermatologues devraient intégrer ces considérations dans leur pratique clinique pour garantir des soins efficaces aux patientes et patients.
Cette étude montre que l'utilisation fréquente des médias au coucher était associée à divers résultats sur le sommeil. Limiter l'utilisation des écrans au coucher est important pour promouvoir le sommeil chez les adultes. Les personnes rapportant une moins bonne santé mentale nécessitent probablement un soutien supplémentaire pour améliorer la qualité de leur sommeil.
Bien que comparable aux niveaux pré-pandémiques, la prévalence du déclin cognitif chez les personnes âgées est associée à plusieurs facteurs de risques liés à la pandémie de COVID-19, dont la perception d’une détérioration de la santé mentale et un isolement accru.
Cette étude montre que malgré un besoin accru de soutien durant les phases de restrictions liées au COVID-19, la santé mentale s'est améliorée relativement rapidement après l'assouplissement des mesures. Toutefois, la persistance des disparités en matière de santé mentale souligne la nécessité de soutenir davantage les groupes plus vulnérables, au-delà de la pandémie.
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