Cette étude montre un taux d’acceptation de la vaccination COVID-19 s’élevant à 75,7%, avec une variation importante selon les caractéristiques sociodémographiques des répondants (âge, sexe, revenu, lieu de vie urbain ou rural).
Cette étude, couvrant une période de plus de 27 semaines, montre une réduction de 93% du risque d'être testé positif au SARS-CoV-2 chez les travailleurs essentiels séropositifs par rapport à leurs homologues séronégatifs, quel que soit leur secteur d'activité et donc de l'intensité potentielle de réexposition.
Cette étude, menée avant la mise en place du certificat de vaccination en Suisse, montre que cette mesure est soutenue par la majorité de la population générale à Genève, en particulier pour être exempté de quarantaine lors de voyages à l’étranger et pour réduire la transmission du SARS-CoV-2 dans le cadre d’emplois au contact de personnes à risque de complications ou d'infection.
A l’appui de 3 tests immunologiques distincts disponibles dans le commerce, cette étude effectuée sur des individus infectés ayant développé des anticorps contre le SARS-Co-V-2, montre l’impact de la sensibilité des tests sur l’interprétation des études sérologiques.
Cette étude, menée entre le 1er juin et le 7 juillet 2021, montre un taux de séroprévalence total de 66,1 %, en considérant les anticorps développés par infection et/ou vaccination. L’étude souligne des différences importantes entre les groupes d’âge. Nous avons estimé que 29,9 % (95 % Crl :28,0-31,9) de la population avait développé des anticorps après infection; le reste de la population ayant développé des anticorps par la vaccination.
Cette étude montre que la séroprévalence d'anticorps anti-SARS-CoV-2 de la population est restée faible après la première vague à Genève. Les personnes âgées et les jeunes enfants étaient moins fréquemment séropositifs.
Cette étude constituée de 8 enquêtes sérologiques hebdomadaires auprès d’une cohorte représentative de la population genevoise, a notamment mis en évidence que l’épidémie était loin de s’éteindre simplement grâce à l’immunité collective.
SEROCoV-WORK+, étude pionnière sur le taux d’exposition au virus par secteurs d’activités et professions, montre une variabilité intra-sectorielle considérable sur le bassin genevois.
Cette étude montre notamment que le risque d’infection via un seul membre infecté au sein de la cellule familiale était plus de trois fois supérieur au risque d’infection dû à des expositions à l’extérieur du ménage au cours de la première vague pandémique.
Cette étude met en évidence des différences de séroprévalence significatives selon les tranches d’âges, sur une population de 4'000 personnes âgées de 0 à 96 ans.
Cette étude longitudinale, réalisée avant l’apparition des variants Alpha et Delta, montre qu’après une première infection par le SARS-CoV-2 les personnes séropositives sont protégées contre la réinfection sur une durée d’au moins 8 mois.
Des regroupements spatiaux de consommation de tabac élevée et faible ont été observés à Genève. L'interdiction de fumer n'a pas modifié la distribution géographique de la consommation de tabac. Les espaces propices à la consommation de tabac pourraient influencer ces regroupements spatiaux. L'analyse spatiale devrait être considérée pour guider et évaluer les politiques de santé publique.